Que vous soyez actif dans la construction résidentielle, non résidentielle ou routière: en tant qu’acteur du bâtiment, vous êtes confronté à de très nombreux défis. Et nous ne parlons pas seulement de la pénurie des talents ou de l’envolée des prix causée par la pénurie des matières premières, qui font la une des journaux. En tant qu’entreprise de la construction, vous subissez aussi l’impact de la transition énergétique. Celle-ci bouleverse la réglementation et le marché, avec des conséquences non négligeables. Pour ne pas rester à la traîne mais saisir pleinement les opportunités, vous devez miser sur des équipements de construction zéro émission qui, à l’usage, garantissent une réduction considérable des émissions polluantes.
La transition énergétique en un mot
La transition énergétique suppose l’abandon des énergies fossiles comme le gaz et le mazout, au profit d’alternatives durables. L’Union européenne veut atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, un objectif qui passe par des étapes intermédiaires comme :
- l’interdiction du raccordement au gaz pour les lotissements neufs depuis 2021, et
- le passage à l’électrique pour toutes les voitures de société à l’horizon 2026.
La transition énergétique repose sur deux principes fondamentaux:
- réduire ou optimiser notre consommation par la gestion de l’énergie;
- produire et consommer notre propre énergie (autoconsommation).
Les défis pour le secteur de la construction
La transition énergétique et l’accent sur le développement durable en général ne sont évidemment pas sans incidence sur le secteur de la construction.
- Il existe des manières de compenser les émissions, en finançant le stockage du CO2 ou en achetant des « crédits carbone » par exemple. Cette solution n’est toutefois pas tenable à long terme : la compensation seule ne suffit pas, et nous avons intérêt à favoriser une réduction des émissions « fondée sur les faits ».
- La réglementation sur la réduction des émissions est en pleine évolution.
- Dans leurs appels d’offres, les autorités (communales ou autres) exigent de plus en plus une démarche de construction zéro carbone. Les entrepreneurs formulent également ce type de demande pour des projets en centre-ville, par exemple, ces zones étant soumises à des limitations d’émissions.
- De plus, le secteur du bâtiment est particulièrement touché par les mesures en matière d’azote. Le durcissement de la législation provoque le retard, voire l’arrêt total, de nombreux projets de construction résidentielle et de travaux structurels. Ces mesures visent à réduire divers types d’émissions: celles des équipements de construction sur le chantier, celles du transport depuis et vers le chantier, et celles liées à la production des matériaux de construction.
- Depuis le 1er janvier 2017, les acteurs du secteur doivent respecter la directive UE 2016/1638, qui fixe les limites d’émissions pour les « engins mobiles non routiers », tels que les engins de chantier et les chariots élévateurs, mais aussi les tronçonneuses, etc.
- De nouvelles techniques se profilent à l’horizon, comme les engins de chantier électriques ou les machines fonctionnant à l’hydrogène.
- Les machines électriques ou machines à électromoteur ne sont pas seulement moins polluantes, mais aussi très pratiques. Elles conviennent mieux à un usage à l’intérieur et sont donc moins nocives pour la santé en cas de travaux dans un hangar ou sur un chantier. Elles ne tournent pas au ralenti (quand le moteur est éteint, il est complètement éteint) et sont plus silencieuses. Cette dernière caractéristique rend ces machines à électromoteur idéales pour le travail de nuit et les travaux dans des quartiers résidentiels ou en centre-ville, par exemple.
- Par ailleurs, nous assistons à l’essor des machines à hydrogène. En tant que carburant zéro émission, l’hydrogène convient notamment aux gros équipements électriques et aux longs trajets en camion.
- Enfin, les machines hybrides sont une solution de transition intéressante. Si ces machines requièrent encore du combustible traditionnel pour se déplacer, nombre d’entre elles n’en dépendent plus pour fonctionner ou tourner au ralenti.
Investir tout en maîtrisant son Total Cost of Ownership?
Pour une entreprise de construction, investir dans ces nouveaux actifs est une source d’opportunités majeure. Avec la menace d’une flambée des prix des carburants fossiles, cette approche vous offre beaucoup plus d’avantages à moyen terme que si vous décidiez de conserver vos engins actuels ou d’investir dans des machines traditionnelles. Mais il est vrai qu’à court terme, elle demande un investissement plus conséquent. Comment intégrer les innovations nécessaires dans un pareil contexte ? Les solutions de leasing de DLL vous permettent de renouveler votre parc de machines sans menacer votre trésorerie.
Le paiement de loyers dans le cadre d’un leasing Fair Market Value peut s’avérer intéressant. Si, en tant qu’utilisateur final, vous optez pour cette solution de financement flexible, vous n’achetez pas l’actif mais vous le louez à un prix mensuel fixe. Au terme du contrat, vous avez le choix parmi plusieurs options : prolonger le bail, racheter l’actif (si d’application), le restituer ou choisir un upgrade.
Nos solutions de leasing de machines vous intéressent ? N’hésitez pas à contacter sans engagement votre équipe commerciale DLL. Comment gérer au mieux la transition énergétique ? Et comment simplifier le financement des actifs compte tenu de cet impératif ? Nos experts vous aident volontiers à répondre à ces questions. Spécialistes du secteur, ils connaissent le marché sur le bout des doigts et surveillent de près les tendances. Ils comprennent donc mieux que quiconque vos défis et vos besoins. Difficile d’imaginer de meilleurs partenaires.